PAVLOK : Un bracelet connecté qui pourrait sauver la France et assagir nos politiques

Ce bracelet est capable de punir les mauvaises habitudes en envoyant des décharges électriques à son porteur

Publié le 02 octobre 2014

Le bracelet PAVLOK ambitionne de redonner un peu de rigueur dans ce monde ou emporté par le stress, tous les excès sont permis au quotidien.

Vous ne bougez pas assez, vous allez trop souvent au fastfood, vous regardez trop la télé, vous passez trop de temps devant la console de jeux ... la liste est infinie tant notre société de consommation nous propose des tentations.

Ce bracelet va faire un carton du coté des solutions de régime! Imaginez que le bracelet vosu envoie sa petite décharge à chaque approche du fastfood?

Imaginez un bracelet connecté à internet et qui grâce à une interface avec IFTTT (une solution qui vous permet de réaliser des multitudes de règles qui réagissent en temps réel et interfacent de nombreuses sources d'informations et réseaux en tous genres), vous allez pouvoir programmer des règles de vies et des limites qui si elles sont dépassées (par exemple via des mesures réalisées sur votre smartphone (GPS), bracelet bien être ...) , généreront une alerte envoyée à votre bracelet qui va alors réagir sous la forme ... d'une décharge électrique de 17 à 240 volts de quoi vous remettre dans le bon chemin. La technique était déjà appliquée pour nos amis les toutous fugueurs ou aboyeurs.

Lancé sur le site de financement participatif Indiegogo.com le 30 Septembre, le projet remporte un franc succès avec déjà 62511¤ collectés en moins de 48h!

D'autres secteurs pourraient faire un bon usage de ce bracelet. Imaginez que la république équipe nos hommes politiques d'un tel bracelet et que dès que ces derniers mentent ou font des promesses irréalisables, PAVLOK les rappellent à l'ordre?

Encore mieux, une application qui contrôlerait les déficits de nos administrations avec des alertes dès que l'on est dans le rouge pour le budget courant. Là on aurait un problème de batterie!

Je ne vous parler pas des mauvais tweet qui seraient sanctionnés par l'agora ...