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L'interview de Priscilla, ex-VDI

Maintenant que vous savez tout sur le statut de VDI, venez lire l'interview d'une étudiante qui a vécu l'expérience. Alors : à faire ou à ne pas faire ?

Publié le 17 août 2007


Priscilla, étudiante à l'iEP Paris, vous raconte son expérience en tant que vendeur à domicile indépendant.

Capcampus
Dans quelle société avez-vous travaillé ?

Priscilla :
J’ai travaillé pour la société Info-presse qui commercialise des abonnements jusqu’à 76% moins chers qu’en Kiosque ! J’ai retenu la formule magique... !

Capcampus
Pour quelle période ?

Priscilla :
C’était un job d’été donc pendant le mois de juillet.

Capcampus
Quelle était votre mission, où travailliez-vous ?

Priscilla :
En tant que VDI (Vendeur à domicile indépendant), ma mission était la vente en approche directe. La cible de la société Info-presse étant les entreprises, je ne faisais pas de vente à domicile mais sur les lieux de travail.

Je travaillais sur Paris. En fait l’ensemble des étudiants était divisé en groupes afin qu’ils ne travaillent pas trop loin de chez eux. J’avais aussi le droit de travailler dans ma ville.

Capcampus
Avez-vous été formée pour ce travail ?

Priscilla :
Oui tout à fait. Les étudiants passent 5h de formation avec Mireille Thines, la directrice des ventes France de la société. Elle nous apprend à vendre et à présenter les produits, elle nous explique notre statut et les revenus, à la commission, que nous pouvons toucher.

Ensuite, une fois répartis dans les groupes, il y a une équipe d’Info-presse qui nous encadre avec la fameuse Directrice régionale qui veille au bon fonctionnement de l’équipe. En général, l’ambiance est plutôt bon enfant.

Capcampus
Etes-vous réellement libre de vous organiser comme vous l‘entendez ?

Priscilla :
Oui, vous pouvez travailler une journée et pas la suivante mais il faut vous attendre à un petit coup de fil de la Directrice régionale.

Capcampus
Et question revenu : on y gagne ?

Priscilla :
Franchement, tout dépend de votre volonté et de votre chance ! Il est clair que si vous n’êtes pas un peu débrouillard pour trouver des éléments d’accroche et vendre vos abonnements, l’histoire se complique. La volonté, parce que beaucoup de personnes vont vous dire non et qu’il faut tout de même s’accrocher, la chance parce que si vous tombez sur un médecin qui ne s’est pas abonné c’est le jackpot !

Capcampus
En somme c’était une bonne expérience ?

Priscilla :
Oui, c’est une expérience. Après, on apprécie ou pas la vente en approche directe...il est vrai que c’est un travail ingrat. Mais c’est surtout sur le plan humain que je ne le regrette pas. Les équipes d’Info-presse sont très sympas tout comme les étudiants. A vous de savoir garder contact avec eux en dehors de l’aventure Info-presse...


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