Jordan Césarion, Anaïs Combes et Kévin Lafortune (e-artsup promo 2017), trois étudiants de 3e année du campus bordelais de l'école, ont aidé le Digital Hub lancé par la Caisse des Dépôts et Consignations en créant différents supports liés à sa communication. Logo, picto, mailing, vidéos... Kévin nous en dit plus.
Si Bordeaux Métropole Numérique s'est vue récemment attribuer le label FrenchTech par le ministère de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, son grand projet de Cité Numérique n'y est pas étranger. En attendant son ouverture prévue à l'horizon 2016/2017, les acteurs du digital de la région Aquitaine organisent différents événements. Pour communiquer autour du lancement le 5 février 2015 du Digital Hub, son cercle de partenaires pensé pour développer de l'innovation, de la transversalité inter grands comptes/start-ups et de la créativité à travers des nouveaux projets, la Caisse des Dépôts et Consignations a pu compter sur e-artsup Bordeaux. Volontaires pour répondre à ce défi, Jordan, Anaïs et Kévin ont ainsi rajouté une belle ligne à leur CV tout en mettant un premier pied dans le microcosme numérique bordelais. 
Comment vous-êtes-vous retrouvés à travailler sur ce projet ?
Kévin Lafortune : En fait, en novembre 2014, e-artsup Bordeaux a été contactée pour savoir si une équipe d'étudiants pouvait être intéressée par l'idée de s'occuper de design, d'animations, de chartes graphiques et de logotypages autour du Digital Hub. Comme la Cité Numérique va beaucoup bouger et va être au centre de nombreux mouvements financiers et culturels dans les prochaines années, cela nous semblait une bonne opportunité de se placer sur ce projet. Nous nous sommes dit que cela pouvait donner une bonne visibilité à la fois à l'école et aux étudiants.
Nous avons donc réalisé une invitation mailing pour l'événement du 5 février, un logo pour leur Hub Digital ainsi que des jingles animés en Motion Design pour chacun des pôles d'activités de ce Hub : les objets connectés, la ville intelligente (smart city), l'humanisme digital, la sécurité des données (ou confiance numérique) et l'usine du futur.
Comment s'est réparti le travail au sein de l'équipe ?
Alice s'est occupée du mailing, qui a pris beaucoup de temps finalement car il a fallu faire de nombreuses retouches au fur et à mesure des demandes spécifiques que pouvaient faire les entreprises concernées. Par contre, les jingles ont été faits en quelques jours seulement car Jordan est très performant en animation. Sur ces vidéos, j'ai juste servi de « directeur artistique ». Quant à moi, je me suis occupé des logos et pictos. Avec les cours en parallèle, l'ensemble nous a bien pris deux bonnes semaines.
Cette collaboration verra-t-elle une suite ?
À la suite de ça, comme tout s'est bien passé, nous gardons contact pour pouvoir participer cette fois à la communication visuelle - et ce qu'il y a autour - d'un prochain événement autour de l'e-sport, soit la compétition de jeu vidéo. Même si l'événement est encore en cours de préparation et que le concept reste à définir, cela peut laisser présager pas mal de supports à réaliser.
Tu es toi-même fan de jeu vidéo ?
Oui. Je m'y intéresse et joue beaucoup. Je suis d'ailleurs l'option Game Design à e-artsup même si ce n'est pas mon orientation de prédilection : je me tourne davantage vers le design graphique et la communication visuelle.
Peut-être le début d'une grande aventure entre les acteurs du digital de Bordeaux et e-artsup dont l'enseignement a justement pour but de dynamiser la filière numérique !
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