Cap sur l'International

L'école ouvre cette année un semestre obligatoire d'études à l'étranger en 3e année.

Publié le 06 octobre 2011

L'école ouvre cette année un semestre obligatoire d'études à l'étranger en 3e année.

« Il est devenu à peu près impossible pour un ingénieur d'envisager une carrière sans dimension internationale, explique Catherine Coquan, la directrice des relations internationales. C'est pourquoi l''ESME Sudria a décidé d'envoyer la totalité de ses élèves étudier au moins un semestre à l'étranger. L'anglais, langue véhiculaire, est obligatoire pour tous et la pratique d'une deuxième langue vivante est fortement encouragée. Par ailleurs, dans les dernières années du cursus, la part des enseignements dispensés en anglais ne cesse d'augmenter. »

international drapeaux.jpgUne stratégie d'ouverture internationale

L'ESME Sudria s'est depuis longtemps inscrite dans une démarche d'ouverture internationale, comme en témoignent les brillantes carrières internationales menées par ses anciens. Grâce aux universités partenaires les immersions sont possibles, non seulement pendant un semestre en troisième année, mais également dans le cadre d'un cursus international en cinquième année. Outre les échanges académiques à l'International et les cours d'anglais, les étudiants se voient souvent offrir la possibilité d'effectuer un stage à l'international. Le stage de cinq mois en dernière année est l'occasion d'une première expérience métier à l'étranger, qui peut préfigurer une carrière hors de France.

Les activités menées par certaines associations étudiantes de l'école comme Melting Pot, qui s'occupe de l'accueil des étudiants étrangers ou Idées Madagascar, qui s'attache à l'aide au développement de Madagascar favorisent également cette ouverture parmi les étudiants.

Des universités partenaires réputées

Les universités partenaires de l'école, au sein desquelles les élèves peuvent effectuer des échanges, sont nombreuses et prestigieuses. On compte en tout une quinzaine d'établissements, parmi lesquelles six universités américaines, ainsi que des universités réparties sur les quatre autres continents dont l'université de Kassel (Allemagne), l'université de Stellenbosch (Afrique du sud), l'université de Wollongong (Australie) ou encore l'université Jio Tong de Shanghai (Chine). Chacun de ces échanges constitue une expérience particulièrement enrichissante pour l'étudiant, qui non seulement fait progresser ses facultés d'adaptation et améliore son niveau d'anglais mais encore profite d'un enseignement d'excellence complémentaire de celui de l'école.

Béchir Ben Amara (ESME promo 2012), parti étudier à l'université de Leeds pendant la dernière année de son cursus (2012) dans le cadre du programme de double diplôme délivrant le master d'énergie renouvelable de Leeds en plus de celui de l'école, explique : « L'université de Leeds est l'une des plus populaires du Royaume-Uni. Les cours dispensés durant le master d'énergie renouvelable recouvrent un large panel de connaissances dans le domaine de l'énergie. Les modules optionnels permettent aux élèves qui le désirent d'acquérir de nouvelles connaissances habituellement non enseignées dans les écoles d'ingénieurs classiques, à l'exemple des cours de changement climatique, de ceux de système à énergie avancée ou encore de passage à l'énergie durable. Ces modules optionnels sont très enrichissants et permettent aux élèves d'élargir leur champ de connaissances dans le domaine de l'énergie. »


ESME Sudria


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