« Je voulais être au plus près de la vie d'Édimbourg » Guillaume Dubois (ESME Sudria promo 2017) raconte son semestre obligatoire à l'International

Avec d'autres étudiants de 3e année, Guillaume Dubois (ESME Sudria promo 2017) est parti effectuer son semestre obligatoire à l'International dans la capitale de l'Écosse, Édimbourg. Un séjour qui, à le croire, vaut le détour, aussi bien pour l'enseignement proposé par la Heriot-Watt University que pour les paysages.

Publié le 17 août 2015

Avec d'autres étudiants de 3e année, Guillaume Dubois (ESME Sudria promo 2017) est parti effectuer son semestre obligatoire à l'International dans la capitale de l'Écosse, Édimbourg. Un séjour qui, à le croire, vaut le détour.

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Guillaume (avec la sacoche ESME Sudria) et les autres étudiants venus découvrir l'Écosse

Au moment de décider où il allait effectuer ses études supérieures, Guillaume s'était tourné vers l'ESME Sudria « pour sa pluridisciplinarité » mais aussi « pour les diverses possibilités qu'elle offre à l'International ». Désormais en 3e année, l'étudiant a récemment pu goûter aux joies du semestre obligatoire à l'International et aux charmes de sa ville d'accueil : la belle Edimbourg. « Je voulais une immersion totale dans un pays anglophone, assure Guillaume qui, bien préparé, savait où il allait mettre les pieds de janvier à mai 2015. La Heriot-Watt University est très reconnue pour ses différents campus - elle est même présente aux Émirats arabes unis avec un campus spécialisé en réseaux et signaux - et celui d'Édimbourg, davantage spécialisé en énergie. Comme c'est le domaine qui m'attire le plus avec l'informatique, c'était une bonne option. »

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Rue des princes et siège d'Arthur
Équipé d'un « petit livre recensant les différentes choses à faire et à voir » et ayant en tête « les bonnes adresses » de son frère qui y avait déjà été, Guillaume arrivait à Édimbourg en plein hiver pour découvrir au mieux la vie écossaise sans fausse note et « pouvoir vivre au mieux cette expérience à l'International ». Sur place, il choisissait de faire une colocation avec une étudiante de l'ESME Sudria dans le centre-ville plutôt que de vivre sur le campus situé en proche périphérie et desservi par de nombreux bus. « Je voulais être au plus près de la vie d'Édimbourg, assure l'étudiant, charmé par les sites à visiter dans et en dehors de la capitale. La ville possède une avenue à ne pas manquer : Princes Street. C'est une sorte d'avenue des Champs-Élysées à l'écossaise. Il faut la voir illuminée le soir, avec une vue magnifique sur le château d'Édimbourg qui, lui aussi, est illuminé de couleurs spécifiques selon le jour de la semaine. Il y aussi Arthur's Seat, qui, de jour ou de nuit, permet d'admirer de paysages somptueux. D'autres endroits valent le détour, comme Calton Hill, qui offre une vue sur tout Édimbourg et l'océan Atlantique. C'est magnifique, surtout la nuit. D'ailleurs, c'est mon plus beau souvenir sur place, quand je suis monté seul et de nuit tout en haut de Calton Hill pour voir l'océan qui reflétait les lumières de la ville. Être face à la nature, avec des vents qui vous rappellent que les éléments sont plus forts qu'un petit homme en haut de la colline, c'était génial. »

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Un programme énergique
Côté études, Guillaume n'a pas été non plus déçu du voyage. « Nous avions quatre types de cours, détaille-t-il. Il y avait un cours sur les signaux, qui nous permettait d'aller plus loin en partant de ce qu'on avait appris lors du premier semestre de 3e année à Paris ; un cours en énergie avec de nombreux TP - nous avons alors réalisé à nouveau certains déjà vus à l'ESME Sudria mais aussi des nouveaux, le tout avec un matériel un peu différent de celui auquel nous sommes habitués à l'école - ; un cours d'analyse critique en anglais et un cours d'électromagnétisme - ce qui nous rappelait notre travail en 2e année. » Un programme complet et technique qui, visiblement, n'a fait que renforcer ses objectifs personnels. « Je souhaite également effectuer un autre semestre à l'international en 5e année à l'ESME Sudria avec la majeure Énergie », affirme-t-il. Pour retourner en Écosse ?

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ESME Sudria


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