« Ne pas réussir médecine m'a permis de découvrir une formation qui me plaît encore plus » Ursula de Vaux Bidon (ESME Sudria promo 2017)

Ursula de Vaux Bidon (ESME Sudria promo 2017) a rebondi à l'ESME Sudria après une première expérience à la faculté de médecine. Aujourd'hui épanouie dans ses études, la future ingénieure revient sur ce choix pas si facile à faire mais finalement très bénéfique.

Publié le 04 mai 2015

Ursula de Vaux Bidon (ESME Sudria promo 2017) a rebondi à l'ESME Sudria après une première expérience à la faculté de médecine. Aujourd'hui épanouie dans ses études, la future ingénieure revient sur ce choix pas si facile à faire mais finalement très bénéfique.

portrait_ursula_etudiante_ingenieure_medecine_paces_paes_admissions_cursus_parcours_informatique_sante_etudes_2015_01.jpg
Que faisais-tu avant de rejoindre l'ESME Sudria ?
J'ai fait une PACES à la faculté de médecine de Créteil. Après avoir réalisé cette première année complète mais n'ayant pas eu le concours, j'ai dû redoubler. Mais après le premier semestre de cette nouvelle année, je me suis vite aperçue que ça n'allait pas passer non plus. J'ai donc pris la décision d'arrêter et de chercher ailleurs. C'est comme ça que j'ai pris connaissance de l'ESME Sudria où j'ai postulé.

Pourquoi t'étais-tu dirigée vers médecine au départ ?
Parce que j'avais envie de faire ça depuis le collège. J'étais intéressée par la biologie et je voulais aider les gens, les soigner.

Cette envie d'aider les autres, tu comptes continuer à la cultiver ?
Oui mais elle a un peu évolué : je ne vais pas soigner des patients mais je compte bien apporter mes compétences d'ingénieure pour aider les autres. Pour cela, j'aimerai bien me spécialiser dans les systèmes embarqués et éventuellement rejoindre l'ingénierie médicale par ce biais.

Qu'est-ce qui t'avais attirée à l'ESME Sudria ?
L'école avait plusieurs avantages pour moi comme le fait que les trois premières années soient généralistes. Venant de médecine, cela m'a permis de pouvoir toucher un petit peu à tout et de ne pas me spécialiser tout de suite, sachant que je ne savais pas ce que je voulais faire après. Un autre atout pour moi, c'est son ancienneté. Cela signifie que l'école possède un bon réseau d'entreprises et que ça n'allait pas être très difficile de trouver un stage pendant mes études ni un travail à la sortie.

Maintenant que tu es en 3e année, qu'est-ce qui te plaît le plus dans tes études ?
À l'ESME Sudria, j'ai découvert l'informatique ! Je n'avais jamais pratiqué avant et cela me plaît pas mal, comme l'électronique d'ailleurs. J'aime beaucoup !

Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui, comme toi après un PACES, pourrait se réorienter vers l'ESME Sudria ?
En sortant de médecine, il aura déjà le bon rythme de travail à fournir donc ça ne lui posera pas de problème ! Le plus dur en fait, c'est la déception d'arrêter un parcours entamé et de décider de se réorienter : il ne faut pas baisser les bras et se dire qu'on peut toujours rebondir ! Il faut continuer à avancer. Ne pas réussir médecine n'est pas forcément un échec, bien au contraire : personnellement, ça m'a permis de découvrir une formation qui me plaît encore plus. Aujourd'hui, je me rends compte que j'adore ça. C'était un vrai nouveau départ.

L'ESME Sudria organise une journée spéciale PAES le jeudi 28 mai 2015 de 14 h à 18 h sur le campus Paris Montparnasse (40, Rue du Docteur Roux - 75015 PARIS).

portrait_ursula_etudiante_ingenieure_medecine_paces_paes_admissions_cursus_parcours_informatique_sante_etudes_2015_03.jpg


ESME Sudria


Actualité en direct des campus sur l'univers de la formation et des métiers afin de suivre les nouvelles orientations du sytème d'éducation en france et à l'étranger. Grâce à notre moteur, consultez les derniers articles et fouillez dans les archives de l'actualité de la formation sur capcampus !