Prépa'PRIME de l'ESME Sudria, un bon moyen de se réorienter sans perdre de temps

Corentin Ducottet (ESME Sudria promo 2019), étudiant en 2e année sur le campus de Lyon, et Margaux Dorp (ESME Sudria promo 2018), étudiante en 3e année sur le campus de Lille ont pour point commun d'avoir effectué la Prépa'PRIME avant de rejoindre définitivement l'école.

Publié le 09 octobre 2015

Corentin Ducottet (ESME Sudria promo 2019), étudiant en 2e année sur le campus de Lyon, et Margaux Dorp (ESME Sudria promo 2018), étudiante en 3e année sur le campus de Lille ont pour point commun d'avoir effectué la Prépa'PRIME avant de rejoindre définitivement l'école. Un choix et une expérience qu'ils sont loin de regretter, bien au contraire.

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Il n'est jamais trop tard pour se réorienter

Que faisiez-vous avant d'intégrer Prépa'PRIME ?
Corentin : J'étais en classe préparatoire à Lyon, en PTSI, soit physique, technologie et sciences de l'ingénieur. Après quelques mois de prépa, je me suis rendu compte que ce n'était pas quelque chose qui me correspondait, notamment l'ambiance axée sur « chacun pour soi » qui ne me plaisait pas vraiment. Du coup, j'ai cherché s'il était possible d'intégrer une école en cours d'année sans pour autant devoir redoubler.
Margaux : Avant d'intégrer l'école, j'avais fait quatre mois en médecine. J'ai décidé de me réorienter totalement car j'avais pris conscience que ce n'était pas fait pour moi. Le contenu ne me convenait pas : j'étais finalement plus attirée par les matières techniques - les mathématiques, la physique - que les matières médicales ou la chimie.

Pourquoi vous être tournés vers l'ESME Sudria ?
Margaux : En fait, j'avais déjà une amie qui y était et elle m'avait ainsi un peu expliqué les principes de l'école. J'ai donc quitté médecine en janvier et m'étant déjà renseignée auprès d'un salon étudiant, je me suis ensuite rendue à Paris pour postuler et effectuer ma Prépa'PRIME.
Corentin : Pour ma part, je connaissais déjà l'école pour l'avoir vue lors d'un salon étudiant un an auparavant -j'avais même hésité à l'époque entre l'ESME Sudria et la prépa.

À quoi ressemble le rythme de la Prépa'PRIME ?
Corentin : C'est un peu comme une prépa normale mais sans les inconvénients. En prépa, ce qui m'handicapait beaucoup, c'était par exemple les DS le samedi matin ou le fait de devoir tout le temps rendre des devoirs maison. En Prépa'PRIME, les DS ayant lieu le lundi, ça permettait de se concentrer dessus pendant le week-end. Une autre différence, c'est l'entraide entre les étudiants que je ne retrouvais pas en prépa. Cela m'a permis de créer facilement pas mal de liens avec les autres étudiants, d'autant qu'on arrive tous en même temps et que personne ne se connaît au départ.
Margaux : C'est un rythme assez soutenu car on devait voir en quelques mois ce que les étudiants de 1re année voyaient habituellement en deux semestres. Du coup, les matières étaient plus condensées et on terminait parfois assez tard, mais au final ça s'est bien passé en travaillant sérieusement. En médecine, le rythme était aussi soutenu sauf que c'était surtout du par cœur. À l'ESME Sudria, il s'agissait plus de réflexion, de mettre en pratique des connaissances théoriques, ce qui était bien mieux à mes yeux ! Je ne regrette donc vraiment pas mon choix de faire Prépa'PRIME : cela m'a permis de ne pas perdre une année et de découvrir une école avec de bons cours et où l'ambiance est aussi très agréable !

Que souhaitez-vous faire plus tard ?
Margaux : Je pense plutôt m'éloigner du domaine médical et me diriger vers celui de l'énergie qui m'intéresse énormément, surtout depuis que je suis des cours sur le sujet en 3e année.
Corentin : Pour moi, ce serait un métier en rapport avec l'astronomie mais je n'ai pas encore d'idée fixe. Je me laisse le temps. On verra en 4e année, quand il faudra que je choisisse ma spécialité.


ESME Sudria


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