Rejoindre l'ESME Sudria après une CPGE : l'expérience de Jean-Benoît Han (promo 2016)

Étudiant en 5e année au sein de la Majeure Énergie et Systèmes, Jean-Benoît revient sur les raisons qui l'ont poussé à rejoindre la grande famille d'ingénieurs de l'ESME Sudria.

Publié le 03 décembre 2015

Étudiant en 5e année au sein de la Majeure Énergie et Systèmes, Jean-Benoît Han (ESME Sudria promo 2016) a rejoint l'école après être passé par une classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE). Il revient sur cette transition et les raisons qui l'ont poussé à rejoindre la grande famille d'ingénieurs de l'ESME Sudria.

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Quand es-tu entré à l'ESME Sudria ?
En 2014, après avoir fait deux ans de prépa en PTSI (Physique, Technologie et Sciences industrielles) au lycée Claude Bernard à Paris. À l'époque, comme je voulais travailler dans le bâtiment, je cherchais une formation capable de me proposer d'étudier certains domaines, comme l'électricité et l'énergie : c'est comme ça que je me suis logiquement tourné vers l'ESME Sudria. Ce qui m'a aussi conforté dans mon choix, c'est son histoire -c'est l'une des plus anciennes école d'ingénieurs en France- et le réseau énorme qu'elle représente.

Quel souvenir gardes-tu de ton concours d'entrée ?
C'était stressant ! Mais une fois que l'écrit est validé, le reste suit tout seul et il faut surtout rester soi-même et montrer sa motivation. Lors de l'oral, c'était d'ailleurs plus de la découverte et l'occasion de savoir comment ça allait se passer une fois à l'école.

Comment s'est passé ton intégration au sein de l'école ?
Sur la partie théorique de la formation, j'étais à mon avantage car, au sein de ma prépa, j'avais déjà pu voir certaines choses en ce qui concerne les réseaux ou encore la théorie du signal. En revanche, sur le côté pratique, avec les TP et les premiers cours de programmation sur le langage C, c'était un peu plus délicat pour moi car, contrairement aux autres étudiants passés par le Cycle préparatoire de l'école, je n'avais pas vu tout ça. Par contre, c'est loin d'être impossible à surmonter et on apprend tous plus ou moins en même temps.

Est-ce que tu as pu compter sur le soutien des autres étudiants ?
Carrément. Heureusement d'ailleurs qu'ils étaient là pour le premier TP ! Je l'avais préparé d'une certaine façon avant qu'un de mes camarades m'explique quelle devait être la marche à suivre. Depuis, je l'ai bien assimilée et je l'applique sans problème.

Quel conseil donnerais-tu à ceux qui, comme toi, souhaiteraient intégrer l'ESME Sudria ?
De bien regarder les formations offertes par l'école. Si elles correspondent bien à ce qu'ils ou elles veulent faire plus tard, il ne faut alors pas hésiter car le réseau et l'image de l'ESME Sudria sont vraiment très importants. Rien que l'année dernière, je n'ai postulé qu'à une seule offre de stage et j'ai tout de suite été pris. C'est assez énorme. En plus, au sein de Phibor, l'entreprise qui m'accueillait, il y avait 80 % des ingénieurs qui sortaient de l'ESME Sudria !

Que souhaites-tu faire quand tu auras obtenu ton titre d'ingénieur ?
Bien que mon stage chez Phibor correspondait assez bien à mon envie de travailler dans le domaine de la construction, notamment la partie électricité, je pense plus plutôt me tourner vers la maintenance électrique par la suite. L'idéal pour moi serait de travailler dans la maintenance ferroviaire à la SNCF. C'est d'ailleurs là-bas que j'ai postulé pour mon stage de fin d'études.


ESME Sudria


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