Trois bonnes raisons de rejoindre Sudriabotik, l'association de robotique des étudiants de l'ESME Sudria

À son arrivée au sein de l'école, Quentin Mercier (ESME Sudria promotion 2016) ne connaissait rien à la robotique. Actuellement président de Sudriabotik, il ne voit désormais que des avantages à faire partie de cette association.

Publié le 02 janvier 2015

Lorsqu'un étudiant de l'ESME Sudria rejoint les rangs de Sudriabotik, c'est souvent parce qu'il a gardé dans un coin de sa tête quelques lointains souvenirs de combats robotiques télévisés. Une fois le seuil de l'association franchi, il découvre cependant un autre univers. À son arrivée au sein de l'école, Quentin Mercier (ESME Sudria promotion 2016) ne connaissait « absolument rien à la robotique » et n'avait justement « jamais vu un robot » de sa vie. Actuellement président de Sudriabotik, il ne voit désormais que des avantages à faire partie de cette association où le goût de la découverte se mêle à celui de la compétition.

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1. Pour devenir naturellement meilleur
Si l'association permet de se familiariser avec ce monde des robots si chers à Isaac Asimov, elle représente également une façon ludique de renforcer ses connaissances et de passer de la théorie à la pratique plus rapidement. « C'est un gros plus, estime Quentin. Je le vois bien : j'ai majoré quasiment tous mes TP de 3e année, non pas parce que j'étais plus fort que les autres mais tout simplement parce que j'avais déjà travaillé dans ce domaine-là avec l'association. Cela m'a donné des atouts pour réussir plus tard. » Au sein de Sudriabotik, on apprend tout sur place, étape par étape. On découvre ce qu'est un microcontrôleur, comment le programmer pour faire des tâches basiques, etc. Bref, tout ce qu'il faut savoir pour monter et programmer un robot en bonne et due forme.

2. Pour avoir l'opportunité de développer ses projets
Avoir des connaissances renforcées aide évidemment les membres de l'association à parfaire leurs projets, qu'ils s'agissent des robots compétiteurs de Sudriabotik ou d'autres projets comme ceux que présentent les étudiants lors du fameux Symposium concluant leur dernière année d'études. Plus tôt les étudiants mettent les mains « dans le cambouis », plus vite ils peuvent penser, améliorer et développer des projets à la technologie innovante. D'autres exemples existent aussi : Quentin a ainsi choisi de consacrer son projet de 4e année à l'amélioration des robots de l'association.

3. Pour s'amuser, tout simplement
Faire partie de Sudriabotik renforce les compétences des étudiants mais aussi les liens d'amitié qui unissent ses membres et si l'asso fonctionne aussi bien depuis sa création en 1996, c'est qu'elle offre également de beaux moments de rigolades avant et pendant les nombreuses compétions auxquelles elle participe. « On s'y amuse bien, assure Quentin. Connaître l'ambiance de la Coupe de France ou de Belgique, voire de la finale Européenne Eurobot, le fait de voir son robot fonctionner de manière autonome, de remporter un match, c'est un plaisir assez intense ! »


ESME Sudria


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