Découverte de la vie en France à l'IPSA

Chaque année, l'IPSA accueille des étudiants originaires des différentes universités et écoles partenaires. Voici les témoignages de trois d'entre eux.

Publié le 12 mars 2013

Ils sont originaires d'Espagne, de Turquie ou du Québec et sont venus étudier un semestre à l'IPSA. Retour d'expériences avec ces étudiants de passage en France.

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« Agréablement surpris par l'accueil »

Carlos Jesús Romero Casado est étudiant à l'Université Polytechnique de Madrid, il a suivi un semestre en cinquième année à l'IPSA : « Ce semestre a été un bon complément à mes études en Espagne. Ici, l'enseignement est beaucoup plus pratique, les étudiants sont amenés à travailler sur de nombreux projets. Pour moi, c'est très intéressant, puisque j'ai pu mettre en application directe mes connaissances théoriques. » A terme, Carlos Jesús aimerait commencer sa carrière à l'étranger, si possible en France, avant de la poursuivre en Espagne un peu plus tard. « J'ai été très agréablement surpris par l'accueil fait par les Français et les Parisiens, précise-t-il. Depuis mon arrivée, je n'ai pas souffert du mal du pays. C'est une des raisons pour lesquelles je souhaiterais continuer à travailler en France. »

Découvrir et apprendre

Son enthousiasme est partagé par François Lachance, étudiant à l'Université Laval de Québec (Canada) : « Je ne comprends pas la mauvaise réputation que peuvent avoir les Parisiens à l'étranger ! A aucun moment je n'ai ressenti cette hostilité qu'on attribue aux Parisiens. » Ce semestre en quatrième année était également sa première expatriation de longue durée à l'étranger, avant certainement d'envisager une carrière à l'International. « Etant issu d'un cursus général en sciences et génie, j'ai voulu découvrir les méthodes d'enseignement Outre-Atlantique et me spécialiser en aéronautique, commente-t-il. La France jouit d'une bonne réputation dans le domaine, aussi, j'ai souhaité étudier à l'IPSA. Là, j'ai pu y découvrir une pédagogie différente de celle que je connais au Québec. Notre modèle universitaire est largement calqué sur ce qui se fait aux Etats-Unis : beaucoup d'exercices et une présence aux cours magistraux facultative. A l'IPSA, l'enseignement est beaucoup plus encadré. »

Cette pédagogie a également surpris Mehmet Tan, de l'Université Technique d'Istanbul : « Cette notion de présence obligatoire aux cours n'est pas aussi présente en Turquie. » Etudiant à l'IPSA en quatrième année de septembre 2012 à septembre 2013, il parfait son cursus initié à la Faculté d'aéronautique et d'astronautique (où il retournera l'an prochain pour valider son diplôme). Et s'il a été refroidi par le comportement de certains de ses interlocuteurs : « Les gens ne sont pas patients ! Par ailleurs, les tâches administratives prennent beaucoup de temps ». Il envisage tout de même de travailler à l'étranger...


IPSA


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