Et si on réussissait nos examens ?

Pour une rentrée bien préparée et une année réussie : le sommeil !

Publié le 20 septembre 2013


Ca y est, la rentrée des plus petits est passée, au tour maintenant des écoles et universités. Pas forcément synonyme de tout repos, le sommeil est pourtant primordial chez les jeunes, dans leur vie quotidienne et dans la réussite de leurs études. Décryptage d’un sommeil réparateur et des signes à surveiller…

Veuillez trouver ci-joint le communiqué de presse concernant l'importance du sommeil dans la réussite scolaire. N’hésitez pas à nous contacter pour toute information complémentaire.

 

Et si on réussissait nos examens ?

Pour une rentrée bien préparée et une année réussie : le sommeil !

Le 19 septembre 2013 – Ca y est, la rentrée des plus petits est passée, au tour maintenant des écoles et universités. Pas forcément synonyme de tout repos, le sommeil est pourtant primordial chez les jeunes, dans leur vie quotidienne et dans la réussite de leurs études. Décryptage d’un sommeil réparateur et des signes à surveiller…

Entre fêtes et bachotage, pas le temps de dormir !

Que ce soit la première rentrée universitaire ou non, le début de l’année est souvent synonyme de fête, retrouvailles ou même encore de travail intensif… Autant dire que le sommeil n’apparait pas comme la priorité. Grave erreur ! Le sommeil doit être un des éléments majeurs à prendre en compte même quand on a moins de 25 ans !

Et les chiffres sont éloquents : 75%[1] des étudiants ressentiraient de la somnolence pendant la journée et tous les étudiants seraient en dette de sommeil. Plus étonnant encore, 35,4 % des étudiants déclarent mal ou très mal dormir. Or, le sommeil constitue un des piliers du développement et de l’apprentissage.

Petit rappel : décomposé en période d’environ 90 minutes, le sommeil est une alternance du sommeil léger, du sommeil profond et du sommeil paradoxal. Une durée de nuit moyenne est comprise entre 7 et 9 heures par nuit pour un jeune adulte. Altéré par une horloge interne déréglée ou des facteurs externes, un sommeil réparateur permet d’activer les fonctions d’apprentissage, de mémorisation et d’assimilation. Et un mauvais sommeil génère stress, trouble de l’attention et irritabilité, pas vraiment le trio gagnant pour une intégration et une année réussies…

La face cachée du ronflement

Outre les effets du manque de sommeil, un sommeil de mauvaise qualité est aussi à surveiller. Ronflements, lever avec sensation de fatigue, somnolence sont autant de signes avant-coureur.

Ronfler n’est pas, en soi, quelque chose de grave. Souvent synonyme de moquerie et considéré comme pas du tout sexy par son/sa partenaire de lit, il ne doit pas être une préoccupation en cas de rhume, de repas arrosé… mais il n’est pas non plus à prendre à la légère. Loin d’être un banal sujet de moquerie il peut aussi être synonyme d’apnée du sommeil et doit, dans ce cas être surveillé de très près.

Il en est de même avec la sensation de fatigue ou la somnolence excessive. En cas de nuit d’une durée raisonnable, entre 7 et 9h, il n’est pas normal de se réveiller avec un sentiment de ne pas avoir assez dormi. Cela peut être aussi dû à une apnée du sommeil non dépistée.  

Derrière ce nom un peu effrayant se cache un mécanisme bien connu mais assez peu dépisté en France. Accompagné de ronflement, l’apnée du sommeil se caractérise par un arrêt de la respiration pendant plusieurs secondes et plusieurs fois par nuit. Il est impossible de mourir d’étouffement, le cerveau, véritable vigie, envoie un signal et provoque un micro-réveil. Pourtant, cela engendre une mauvaise oxygénation du corps et un sommeil qui reste toujours au stade du sommeil léger, donc pas réparateur.

Les jeunes et étudiants sont aussi touchés par ce phénomène. Pour le Dr Gérard Vincent,  spécialiste de l’apnée du sommeil, « ce phénomène n’est pas à prendre à la légère, y compris chez les moins de 30 ans. Les répercussions à court terme sur les études et à long terme sur la santé générale sont réelles et peuvent être lourdes de conséquences. »   


Zoom sur ONIRIS

Créée en 2011 suite aux travaux du Docteur Vincent, Oniris, start-up familiale, met au point, fabrique et commercialise des Orthèse d’Avancée Mandibulaire (OAM), made in France. Alors que les traitements existants étaient jusqu’alors très chers ou très contraignant, l’orthèse Oniris a été créée afin d’apporter une solution simple, économique et efficace aux problématiques liées au ronflement et à l’apnée du sommeilElle a fait l’objet d’une étude clinique validant ses bénéfices, de plusieurs brevets et reçoit le soutien d’un comité scientifique regroupant plusieurs grands spécialistes. Déjà 10 000 patients l’ont adoptée !

Oniris est accompagnée par OSeo, en tant que Jeune Entreprise Innovante.

Chiffres clés :

    Un chiffre d’affaires de 1 million d’euros en 2013 (prévision)
    10 000 patients ont adoptés l’orthèse Oniris.
    Depuis janvier 2013, déjà 7 500 orthèses Oniris ont été vendues. Oniris devient ainsi le premier fabricant  d’orthèse en France (Avant l’arrivée d’Oniris sur le marché, seul 5 000 patients étaient traités par an avec des orthèses de laboratoire)
    Déjà disponible sur commande dans 20 000 pharmacies
    24 salariés

 

[1] Beck F., Richard J-B. dir. Les comportements de santé des jeunes. Analyses du Baromètre santé 2010. Saint-Denis : INPES, coll. Baromètres santé, 2013 : 344 p.